Villa de style néo-gothique avec gargouilles, fleurons et baies en accolade.
Cette villa fut dessinée par l'architecte Mauclerc pour le Commandant Bertaux Levillain.

Construite par l'entreprise Marie Frères de Caen. Alternance de lignes de briques et de pierres de silex. Frise de pierres à motifs végétaux.

Ancien hôtel de voyageurs. Toitures rythmée de lucarnes. Jeu de sculptures de visages autour des baies.

1885, par l’architecte E. Papinot. Tour d'angle et décoration de briques en losanges.

Construite en 1893, cette villa présente une combinaison de style néo-normand et d'esprit médiéval (sculptures et grotesques). Les céramiques représentant des animaux entre les colombages témoignent de la passion du propriétaire pour la chasse à la fauconnerie.

Cette villa néo-normande édifiée vers 1910 est très ouverte sur l'extérieur et la mer grâce à ses oriels et balcons à encorbellement. La toiture est à fermes débordantes. Les murs présentent une alternance de pierres et de silex à larges bandeaux.

Cette villa fut édifiée vers 1890. D'abord en pierres et en briques elle fut surélevée en 1930, lui configurant un style néo-normand.
Elle fut baptisée aussi "Les Pitchoux".

Construit autour de 1870, ce chalet fut la propriété d'un passionné de dominos puis du peintre impressionniste René Xavier Prinet (1841-1946).
Ce dernier a laissé de nombreuses peintures ayant pour objet Cabourg.
Nous ne savons pas si Marcel Proust et René Prinet se sont rencontrés. Toutefois la description de l'atelier et de la villa du peintre Elstir comporte beaucoup de similitudes avec le chalet, même si Proust situe la villa loin du front de mer dans le roman "A l'ombre des jeunes filles en fleurs".
Le narrateur perçoit l’atelier du peintre Elstir comme étant laid et commun, il donne sur une bande de jardin puis sur une avenue.
Elstir recréé les choses : il fait des illusions marines, il peut recréer la mer et ainsi peut la retrouver.
Marcel Proust considère que le style pour l’écrivain aussi bien que la couleur pour le peintre, est une question non de technique mais de vision.

Construites vers 1905 pour le maire Charles Bertrand.
De style architectural éclectique, elles présentent de riches décorations de céramiques.
On reconnait la préférence architecturale de Monsieur Bertrand pour le style Renaissance italienne.

Construite en 1882 par l'architecte Girard pour le maire Auguste Joseph Pégat.
Le belvédère avec vue sur mer fut ajouté quelques années plus tard.

Dessinée par l'architecte Mauclerc qui fut l'architecte en chef des jardins du casinos, cette villa néo-normande présente des décorations d'inspirations marines.

Construite par l'architecte Mauclerc pour Maxime, fils de Charles Bertrand et pour ce dernier lui même.
Son premier nom fut villa Maxime.
Equilibre entre le moellons de silex et les nombreuses mosaïques. Briques soulignant les baies.

Dessinée par l'architecte Mauclerc cette maison est aussi une ancienne agence de locations de villas. Les figurines grotesques ornant les éléments architecturaux sont remarquables.

Dessinée par Mauclerc. Grande richesse des décorations.

Style classique et sobre avec un étage souligné par une décoration de briques et de céramiques. Toit à la Mansart avec lucarnes à fronton triangulaire.

Construite en 1880 dans la typologie classique.
On remarque sa tour polygonale couverte d'une toiture-terrasse à l'italienne. Un belvédère couronne la toiture de style Renaissance.

Aspect asymétrique et néo-basque qui interpelle et change des villas classiques du Second Empire.

Villa de style classique. Toit à la Mansart percé de lucarnes à frontons curvilignes et rive de toit ornée d'un lambrequin en zinc à motif pompons.

1860 et 1903. Agrandie dans le style néo-normand tout en suivant élégamment l'avant-corps (côté mer) qui fait office de trait d'union entre la villa et le jardin.

Ancien commun de la villa Kerneva, la Courte paille rappelle la longère normande.
La villa Kerneva à l'aspect d'un petit château néo-classique est présente sur la partie Est de l'ancienne parcelle.

Cet ensemble de 3 villas présente des pignons de styles flamands différents :
La Goélette est dotée d'un pignon à gable simple, la Frégate d'un pignon à volutes et la Corvette d'un pignon à redents.

Construite vers 1864 cette villa fut la propriété d'Aldolphe d'Ennery (1881-1899) grand écrivain et metteur en scène de pièces de théâtre puis maire de Cabourg. Il y reçu Alexandre Dumas fils.

Villa en pierre composée d'une avancée rectangulaire ouverte sur deux balcons permettant d'élargir la vue.

Bel exemple d'architecture néo-normande : damier de briques et de pierres, étage à pan de bois, jeu de toitures en tuiles et épis de faîtage.

Incarne le logis pittoresque par excellence avec son balcon en bois blanc ouvragé.

Style néo-normand tardif (1930). Villa avec pan de bois décoratif peint.
Grandes colonnes soutenant la pergola.

Villa de facture classique, dotée d'un ensemble de loggias en enfilade aux formes curvilignes.

Par l'architecte Mauclerc. Villa aux grands volumes, de style éclectique, rehaussée d'un pan de bois soulignant la toiture. Bow-windows en pierre et bois. Échauguette. Brique savamment utilisée en totale harmonie avec le silex.

Villa toute de blanc vêtue avec une avancée polygonale formant dans sa partie haute un bow-window.

Construite en 1863 par et pour l'architecte Clément Parent.
La villa possède un escalier donnant sur un avant-corps robuste en pierre de Caen coiffé d'une toiture polygonale. On remarque la décoration de briques en forme de losanges.
Louis Parent, fils de Clément Parent compta parmi les amis de Marcel Proust.
Devenue en 2021 "La Villa du Temps retrouvé" elle transporte le visiteur au temps de la Belle Epoque et dans l'univers de Marcel Proust sur Cabourg et la Côte Fleurie. Son Pavillon de l'Architecture vous fait découvrir toute l'évolution architecturale de Cabourg du Moyen-Age à nos jours. villadutempsretrouve.com

La villa Laperelle a été construite vers 1880 et a appartenu à un entrepreneur du même nom et à son frère : elle a donc toujours été séparée en deux parties. Sa lecture architecturale se divise en trois parties, à l'Ouest : néo normand, au centre : néo-baroque et à l'Est plutôt classique et normand. Dans les années 30 la famille Lecanu (Mme Lecanu était une demoiselle Laperelle) exploita un café au rez-de-chaussée. Il y eu aussi un restaurant qui communiquait avec l'ancien pressoir qui faisait l'angle avec la rue du commerce. Une magnifique cheminée en pierre à l'intérieure de la villa témoigne de cette époque. Une importante partie de la villa est désormais divisée en appartements.